J’ai reçu un commentaire à l’un de mes articles, d’un lecteur qui m’a posé les questions suivantes : « Qu’est-ce que ça fait de sprinter dans la rue Meslay vide ? » et « Quelles stratégies mettre en place face à la mise en orbite de nos parents ?« . Eh bien, cher lecteur, je vais te répondre.
Premièrement : ça me fait bizarre de sprinter dans la rue Meslay mais pas à cause de cette rue, à cause des bruits de voitures que j’entendais normalement dans les rues à côté et qui a disparu.
J’ai battu mon record d’allers-retours. Avant-hier : 3 allers-retours x 900 m donc 2 700 m. Aujourd’hui : 4 allers-retours x 900 m donc 3 600 m. Je cours au milieu de la rue pour ne croiser personne. La rue Meslay fait des montées et des descentes donc ça fatigue quand même pas mal !!
Deuxièmement : je crois, concernant les parents, que sortir un peu plus, arrêter l’alcool et arrêter de fumer serait déjà une bonne chose. D’ailleurs aujourd’hui, la santé de mes parents a encore baissé d’un cran : mon père, après que j’ai fait tomber une pomme de terre, pendant le déjeuner, m’a dit : « C’est trop classe… qu’est-ce que j’aurais aimé être toi… j’aurais gagné ma vie… tu es mon espérance… tu es moi en mieux… » HELP ME !!!!
Je ne sais pas quoi dire d’autre mais continuez à m’envoyer des questions : ça m’occupe !
Nathan (au quotidien. Et je nomme ce commentateur : @D S)
Tu devrais proposer à tes parents de faire comme ce couple confiné à Dubaï : ils ont couru 42,2 kms en 2100 aller-retours sur leur balcon mais… vous n’avez peut-être pas de balcon ??
Bonjour Nathan. Moi, j’ai un podomètre sur mon téléphone qui me dit le nombre de pas que je fais dans la journée (si le téléphone est dans ma poche évidemment). Il paraît qu’il faut faire à peu près 6 000 pas minimum pour continuer à être en bonne santé. D’habitude il m’arrive d’en faire beaucoup plus mais depuis le confinement, c’est un peu le contraire, c’est tout à fait le contraire en fait. Qu’en penses-tu ?